Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, était de passage dans la région de Joliette le 6 juin, accompagné du député de Joliette, Gabriel Ste-Marie, et de Guy Chevrette, ancien député à l’Assemblée nationale du Québec de Joliette et ministre.
Yves-François Blanchet et Gabriel Ste-Marie ont été reçus à l’hôtel de ville de Joliette à l’invitation du maire de Joliette, Pierre-Luc Bellerose, avec qui ils ont pu discuter des enjeux de la ville et de politique québécoise en général.
Ils ont également rencontré plusieurs entrepreneurs, entreprises et organismes lors de leur passage au dîner de la Chambre de commerce du Grand Joliette, ainsi que lors d’une visite aux Industries Harnois, où les défis de pénurie de main-d’oeuvre sont abordés sous l’angle de l’immigration humanitaire d’origine ukrainienne, ainsi que des projets sur lesquels l’entreprise travaille à développer la filière de l’agriculture en serres. Une meilleure compréhension et un meilleur soutien des gouvernements, tant d’Ottawa que de Québec, sont nécessaires.
Finalement, ils ont pris plaisir à saluer les clients du restaurant Chez Henri, avant de s’y attabler pour « beaucoup de saveurs, de calories et de gourmandises ».
« L’accueil a été si chaleureux et les invitations fusant de partout, il va falloir que Gabriel me réinvite prochainement. La MRC de Joliette est vraiment dynamique, tissée serré… J’ai déjà en tête une rencontre avec les organisations impliquées en main-d’oeuvre et une visite de serres construites par Harnois », a dit le chef du Bloc Québécois.
« Au Bloc Québécois, on tente d’être le plus souvent possible sur le terrain. C’est comme ça qu’on est en mesure de mieux défendre notre monde, et ça, Yves-François le démontre bien, a mentionné Gabriel Ste-Marie. Il est à l’écoute, proche des gens et complice et s’intéresse aux projets qui font avancer Joliette et le Québec. C’est pour ça que nous défendons toujours l’idée que si c’est bon pour le Québec, on vote pour, et si c’est mauvais pour le Québec, on vote contre. Dans tous les cas, on peut faire toujours mieux pour notre monde. »
