« On peut se fier sur le Bloc! », - Gabriel Ste-Marie
Photo gracieuseté - Denis Trudeau - L'Action
Le Bloc Québécois a dressé le bilan de son aile parlementaire au terme d’une session historique marquée par la COVID-19. L’action parlementaire du Bloc Québécois s’est traduite par une approche de propositions et de collaboration afin d’accélérer et améliorer le soutien à la population québécoise inquiète et aux entreprises.
Avant la crise
Le Bloc a entamé l’année en menant des combats importants pour le Québec. Entre autres, il a négocié et obtenu une protection accrue pour l’aluminium du Québec, qu’Ottawa avait abandonné dans la négociation du nouvel accord de libre-échange nord-américain. Le Bloc Québécois a fait adopter une motion réclamant du gouvernement la bonification des prestations de maladie de l’assurance-emploi pour mieux soutenir les personnes souffrant de maladies graves comme le cancer. Le Bloc s’est également porté à la défense de l’environnement en réclamant l’abandon du projet de mine de sables bitumineux Teck Frontier et à la défense des valeurs québécoise en soutenant la laïcité de l’État.
Mouvement de soutien à la nation Wet’suwet’en
Alors que Justin Trudeau déléguait ses responsabilités aux provinces et appelait à des interventions policières pour démanteler les barrages ferroviaires en territoires autochtones, le Bloc s’est battu pour une sortie de crise pacifique. Le Bloc a proposé la création d’une cellule de crise impliquant les ministres, la nomination d’un médiateur externe, le retrait de la GRC du territoire Wet’suwet’en et l’arrêt temporaire des travaux sur le pipeline au cœur de la discorde. Toutes ces propositions ont été lentement mises en place et ont mené à une résolution de crise sans que la police ait à intervenir à Oka.